L'OEUF COSMIQUE et ses 256 UNIVERS

LA COSMOGONIE DE FA.

FA & SON AKPO :(SAC)

FA & SON AKPO :(SAC)
FA, N’A PAS D’IMAGE REPRESENTATIVE.

FA, N’A PAS d’IMAGE REPRESENTATIVE DEPUIS LA NUIT DES TEMPS.

Dès lors, Il montre du doigt L’ULTIME SAC DE COUCHAGE,

CELUI destiné aux communs des mortels … C’est à dire, LA TERRE : LÊTÊ-DJIMÊ.

"Si haut que l'on s'élève et si loin que l'on avance,

il reste mille mystères qui exigent le recours à la philosophie lorsqu'on tente de les résoudre."

MEDITATION

« Le malin ou l’incrédule qui se croit au-dessus ou qui ne croit pas en la Géomancie par le FA en est victime ; le profane curieux qui y croit en tire quelque profit ; mais pour l’homme intelligent et sincère, elle constitue une source inépuisable de sagesse et de richesses. » Un adage retransmis par les vieux sages.

L’ARGENT est au sac (Akpo),

L’ARGENT est au sac (Akpo),
tandis que l’Homme, la Femme et les Enfants APPARTIENNENT au SAC (la TERRE.)

OBA (Nigéria) et son ESCORTE

OBA (Nigéria) et son ESCORTE
Lors des commémorations de DADA GBÊHANZIN:Déc.2006/DJIMÊ

PAR LES MÂNES DE NOS ANCÊTRES

PAR LES MÂNES DE NOS ANCÊTRES
Commémorations Centenaire mort DADA GBÊHANZIN DJIMÊ 12/2006

jeudi 1 mai 2008

« LA VIE ET LA MORT ? Qu’est-ce ??? »

... DEUX FACES DE LA MÊME MEDAILLE.
ABIKOU-AZIZA: Par mon BOUCLIER-Ceinture, je suis épargné. Je suis passé entre les mailles de leur filet tendu. Ce qui n'était pas le cas de mes Suiveurs-poursuivants, il y a plus de 35 ans. Ils se sont retrouvés dans YÊMÊ (LA MORT) et dans les GRIFFES du Dieu GOU: "Gbé-Abla".
Gbé-Abla: Le comploteur ne peut nouer des intrigues contre FA-AÏDEGOUIN. On peut essayer de tout ATTACHER, mais Dan AÏDO-Wouèdo (ARC-EN-CIEL) dit ne JAMAIS faire partie du lot. Où vas-tu en complotant contre lui? Gbé-Abla. Où resteras-tu pour comploter contre FA-AÏDEGOUIN? "Gbé gbé yé non bla! Dé lê tin yé non bla a". Il y a des herbes ou des feuilles qu'on peut ATTACHER, d'autres, NON.
"ATTENTION aux INTRIGUES, car la Corde sera difficile à MANIPULER".

De justesse, ou je ne sais par quelle "force", je n'ai pas pris ce bain forcé.

En haut à gauche de cette photo, on aperçoit le tracé de la route.

L'homme à la casquette, c'est notre secouriste, aussi interloqué que nous. Depuis son champ, il nous a vus prendre "la clé des champs". Monsieur, vous êtes un vrai conducteur, personne n'est blessé? Non, je ne crois pas. Les deux Taxis qui se suivaient et venant d'en face, où sont-ils? Visiblement embarrassé par ma question, il intima l'ordre à ses tâcherons de l'aider à soulever le véhicule pour le mettre hors du fossé. C'est palpable son embarras, il n'arrêtait pas de me scruter tout en donnant des directives de manipulations à ses tâcherons. Tout mon esprit était occupé ailleurs par des interrogations sur la VIE de l'HOMME. Je pensais aussi à mon compagnon de route qui a voulu me suivre pour faire "cette ballade". PAPA! (cette appellation me ramena brusquement à la réalité présente) C'est fait, vous pouvez continuer votre route. Inutile de vous recommander la prudence.
Il me prend par la main et m'éloigna un peu de l'assistance. Je vous confirme que vous êtes un "sacré et bon conducteur". Dans ce village, mon surnom est "ZAÏRE". J'étais conducteur de bises de bois dans la forêt Zaïroise, repassez me voir à votre retour. Avec plaisir et GRAND MERCI pour tout.
GBE-ABLA! Au premier coup du démarreur, le moteur reprenait du service. Mon compagnon est le premier en s'engouffrant dans le véhicule. Je traîne encore pour prendre quelques photos de l'endroit.

LE BEAU CHAMP DE MAÏS DE NOTRE SECOURISTE, qui promettait une belle Récolte.

Gbé-Abla! Mes HOMMAGES à cet Honorable vieux du village de Agbanyizoun, une commune d’Abomey. Par le don du Bouclier-Ceinture, il me garantissait une part de ma traversée terrestre. Bien qu’en ayant toutes mes attentions sur le parcours routier, mon esprit voguait d’interrogations en interrogations. Les fondements de mon Être Cartésien bousculés, volèrent en éclats. Mon accompagnateur-compagnon de route, me demande de faire halte. Est-ce pour un arrêt urgent ? Non, pour discuter un peu avec toi et te permettre de te reposer un peu. Je ne suis pas fatigué, et selon la carte routière, nous ne sommes plus très loin d’une station routière. Dis-moi François (« Doungbé ma bou do woèkê », de son vrai nom), pourquoi ne t’es-tu pas envolé, volatilisé comme par le passé ??? Sciemment, je le bouscule verbalement pour qu’il sorte de ses « gongs ». Afin qu’il me donne un fil conducteur inconsciemment, afin que je puisse trouver réponse à mes propres interrogations. FOFO ! (Grand-frère) Tu es « bizarre », toi-aussi. Après ce que j’ai vécu en t’accompagnant dans le village de Agbanyizoun, je me pose des questions sur toi. Ne te fâche pas, je cherche simplement à cerner ton vrai « MOI » pour mieux t’être utile. Si je le sais moi-même, nous ne serions pas sur cette route, je lui laisse entendre. A l’encontre de notre Assistant-Secouriste qui n’avait ni remarqué le Véhicule Suiveur, ni les Taxis , François a vu le Véhicule Suiveur quand il nous dépassait. Il n’a pas vu la Dame assisse derrière, par contre n’a vu qu’un Taxi qui nous heurtait de plein fouet. Je me souviens qu’il avait poussé un cri de stupeur « Yégué » au moment de ce qu’il prenait pour « IMPACT-COLLISION » avec ce Taxi, avant de sombrer « INCONSCIENT ». Il n’a pas assisté éveillé tout mon combat dans les hautes herbes. Il n’ouvre les yeux et conscient lorsque le véhicule s’immobilise. Il découvre avec étonnement, tous les sillons elliptiques faits par les roues.

GBE-ABLA ! De ce village de Savalou jusqu’à Djougou, j’ai demandé dans toutes les stations en décrivant le véhicule, son « passage éventuel ». Personnellement, je ne m’y attendais pas à une réponse affirmative. En mon fort intérieur, je soupçonnais et redoutais certaines réalités de déchirure du voile intemporel. Chaque fois, mes interlocuteurs se demandaient de « quelle planète » je débarquais. Personne ne pouvait imaginer que ce véhicule que je décrivais pourtant avec précision ne verrait le jour commercialement parlant, que quinze ans plus tard. De retour de Djougou une semaine plus tard, je m’arrête dans ce petit village comme promis et demande la maison de « ZAÏRE ». Il est content de nous revoir. Après l’offrande d’eau de bienvenue, il s’est mis à nous raconter les faits d’après notre « ESCAPADE » dans la brousse avec notre véhicule. Le même jour, à peine après trois heures (que je situais vers treize heures), au même endroit, un véhicule ayant à son bord deux coopérants canadiens s’embarde les quatre roues en l’air dans cet étang et causa la mort de ses occupants, noyés. François me regarde estomaqué. Ce n’est pas tout, enchaîna « Zaïre », vers dix-sept heures, de la même journée, un Taxi prenait le même chemin de la « brousse », bilan : deux morts et plusieurs blessés. Dites-moi donc, si vous n’êtes pas un « sacré bon conducteur », il faudrait alors « REMERCIER » votre étoile, dit-il en concluant par un sourire qui en disait long.

Je dis MERCI, pour toute réponse en déposant mon verre. Nous allons reprendre la route et je ne veux pas que la nuit nous surprenne en chemin. Je repasserai un jour peut-être vous dire un petit bonjour si mes pas me conduisent à traverser votre village. MERCI POUR TOUT.

GBE-ABLA ! Très tôt le matin, François tambourinait la fenêtre de la chambre qui donnait sur la rue. Je me lève d’un bond et découvre François dans un drôle état de fatigue. Qu’est-ce qui t’arrive ? Je n’ai pas dormi de la nuit. Pourquoi ? J’étais pris dans un tourbillon de recherches et j’ai paré le coup au plus pressé. Explique-moi clairement ce qui se passe. Donne-moi d’abord un peu de « réconfort » (alcool du matin), et dis-moi ce que tu déduis de notre trajet, et les paroles (en zigzague) de Zaïre. Je n’ai rien à dire, sauf que je suis dépassé par certaines similitudes. Moi-aussi, à aucun moment je ne pouvais imaginer à quoi nous étions confrontés sur le parcours de notre voyage, s’il ne me vient un éclaircissement de FA. FOFO, pardonne-moi, mais c’est toi le « PROBLEME ». Tu es plutôt victime qu’offenseur depuis bien longtemps. Tu connais la « dame » que tu as vue assise derrière cette voiture qui ressemble à un corbillard. Pour quelle raison se montre-t-elle à toi et pas à moi ? Dis-toi que dans le second accident, celui du Taxi, l’un des blessés graves transférés à Cotonou, est mon voisin immédiat. Personne ne savait que je voyageais, et à plus forte raison, que je me retrouverais sur cette portion de route. Alors c’est quoi cette
« MACHINATION » des « OMBRES » ? Je soupire calmement et lui laisse entendre : Cette machination des Ombres comme tu le dis, n’est qu’une résultante d’un fait passé d’il y a 35 ans. Je ne savais pas exactement que c’est sur cette portion de route, qu’un « adversaire belliqueux » avait trouvé la mort, dans un accident de voiture. La dame vue derrière dans ce véhicule, n’était autre que l’instigatrice de la mort de ma mère, en complicité avec cet adversaire belliqueux. Je comprends mieux maintenant, ce qui nous est arrivé. Qu’est-ce qu’ils peuvent avoir la RANCUNE TENACE, ces morts. Ils n’acceptent pas leurs ECHECS. Pour moi, j’ai toujours le Cœur rempli d’AMOUR pour eux, et leurs descendants. A chacun de peser le POUR et le CONTRE de ses ACTIONS. GBE-ABLA !
GOU ! Le REBEL-GAUCHER est REPUGNANT dans ses MANIFESTATIONS RECURSIVES. GBE-ABLA.

SOUS LES OSPICES DE FA

SOUS LES OSPICES DE FA
SÊWOUE-LISSA

Joyeux Anniversaire DAËNA.

AN 2000/2008-11-28

JOYEUX Anniversaire DAËNA

Huit ans et l’OUVERTURE

d’une Continuité de « DOUBLE »…

SÊWOUE-LISSA.